lundi 11 mars 2013

Les écrits en Sciences au cycle 2


 NB : Le texte qui suit s’inspire des dernières instructions et des programmes officiels. Les modalités pratiques étant sous la responsabilité des maîtres, les suggestions ci-dessous (élaborées à la suite de maints essais dans les classes) ont pour fonction d’aider les maîtres à mettre en œuvre des écrits scientifiques authentiques, œuvrant ainsi au développement de la maîtrise de la langue avec les sciences, et ceci sans trahir l’esprit des consignes officielles.

En cycle 2, l’enfant est placé face à des situations diverses, à des interrogations, des problèmes concrets et expérimentaux. Il mène différents types d’activités, parmi lesquelles on distingue :

- 1. L’exploration, le tâtonnement expérimental puis l’investigation pour appréhender le monde qui l’entoure, satisfaire sa curiosité et trouver des réponses à ses interrogations (comment fond un glaçon ? que devient l’eau des flaques ? L’air peut-il être emprisonné ? etc…). Ces activités sont essentiellement manipulatoires et expérimentales.

- 2. Des opérations logiques de comparaison, tri, classement, qui lui permettent de construire les premiers concepts en sciences (par exemple, pour la matière, le concept de solide, de liquide ; pour l’air et l’eau, le concept de matière ; pour l’électricité le concept de contact électrique). Ces concepts lui permettent ensuite de dresser des catégories, de fournir des définitions et d’utiliser ses connaissances  dans le prolongement de son apprentissage.

- 3. La communication de travaux et de résultats en vue de la mise au point de connaissances générales à partager. La maîtrise de la langue est ici au cœur de l’activité.

- 4. L’enquête, la recherche d’informations pour élargir ses connaissances, répondre ou trouver des idées  (ex : comment avance une fusée ?) ;  comment sont faites les crèmes glacées ?

Cahier d’expériences et écrits intermédiaires 

Quand l’enfant (en groupe la plupart du temps) explore, tâtonne, mène des investigations), il doit en garder la trace et pour cela dessiner ses montages, noter ses observations, savoir les interpréter, consigner sa ou ses conclusions.
Ces écrits et dessins parcellaires faits en situation de travail autour d’une manipulation, constituent des écrits intermédiaires. Chaque écrit intermédiaire est centré sur l’objet de la phase de travail.
Pour que ces écrits intermédiaires prennent du sens tous ensemble, il conviendra qu’ils figurent — améliorés ou simplement tels quels — dans le "cahier de manipulations" ou "cahier d’essais de science, ou cahier d’expériences".. de l’élève. Leur disposition devra alors les organiser : ils seront introduits par une phrase, une question…

(Pour aider les enfants dans l’écriture correcte de petits textes ou légendes, une solution est d’écrire au tableau en début de séance les mots et phrases qui reviennent souvent, afin de permettre aux enfants de disposer de références exactes, ou de corriger eux-mêmes leurs fautes).


Cahier de Science et Trace écrite finale

Ces savoirs intermédiaires vont s’additionner les uns aux autres en vue de construire la réponse ou la solution à la question de départ qui les a initiés.
Avant d’être repris tels quels ces écrits intermédiaires sont mis en commun (présentation par affiches, ou, au tableau, etc......) puis éventuellement rectifiés (après peut-être des va-et-vient expériences et mises en commun) puis validés par la classe puis, par le maître.
De ces propositions, la classe retient une conclusion générale qui prend alors valeur de généralité ou vérité scientifique à consigner et retenir. Cette conclusion générale une fois émise, doit être appuyée par un écrit structuré récapitulatif de la démarche, écrit que nous nommons "trace écrite ou trace écrite finale". Cette dernière est élaborée collectivement sous le pilotage du maître.

La trace écrite finale restitue l’organisation de tout le travail conduit avec ses principales étapes, ses questions, ses schémas, ses légendes et commentaires, ses interprétations et ses conclusions : on peut le considérer comme une sorte de « rapport de recherche ». C’est pourquoi la trace écrite finale n’est pas un résumé terminal, mais reprend et insère chronologiquement, en les nommant, les différentes phases intermédiaires de la recherche.

Chaque phase est définie pas la question posée, la recherche entreprise. Elle énonce donc son objet de travail (sa question), et l’enfant y place les schémas de ses expériences avec observations, mesures, résultats et conclusion : ses écrits intermédiaires sont donc repris ici.
Les résultats partiels progressent et prennent peu à peu tout leur sens : ils sont resitués dans la problématique qui les a engagés.  Les étapes se succèdent et apportent à la fin la conclusion générale de la classe.


La trace écrite apparaît donc comme la « résultante » d’un processus de recherche, progressif, structuré et tendu vers un objectif de conclusion. Ce processus de recherche, qui au début montre des travaux partiels, avance et finalement apporte la conclusion à retenir. La trace écrite constitue un ensemble logique et cohérent, dont l’objectif est d’amener celui qui la lit à admettre la conclusion générale finale recherchée. Sur le "cahier de sciences" de l’élève, cette trace écrite sert à la fois de mémoire du travail, de savoir à retenir, de communication à l’usage des autres, des parents... bref, d’information pour chaque personne intéressée.

Remarques :
1. Certains maîtres utilisent des feuilles de papier pour les travaux personnels des élèves lors des recherches ; ils les insèrent à la suite de la trace écrite dans le cahier de science : il s’ensuit que les écrits intermédiaires sont extérieurs à la trace écrite et n’apparaissent pas comme les composantes des conclusions. Il en résulte que les conclusions sont déconnectées du processus de leur élaboration, qu’elles apparaissent ainsi comme de simples résultats et non comme l’aboutissement d’une recherche en acte.
2. Je me permets à cet égard de rappeler que chaque maître dispose à sa guise des conseils précédents sur les écrits en activités scientifiques. Leur intérêt est d’avoir jusque-là, permis une certaine satisfaction des enseignants. À ce jour, de nombreuses options existent au titre de la préférence enseignante : faute d’une argumentation à la fois épistémologique, didactique et pédagogique, aucune d’entre elles n’a vocation jusqu’à maintenant, à prétendre à l’hégémonie de son application.

S’il n’est pas conseillé de laisser des fautes dans les écrits qui figurent dans le cahier de sciences, il convient de ne pas trop focaliser l’attention de l’enfant sur les fautes (ne pas confondre les objectifs en sciences avec ceux en français). Pour cela, les maîtres passent auprès des élèves qui écrivent ou légendent sur leur "cahier d’essai de sciences", et attirent simplement l’attention de l’enfant en l’invitant à corriger (il peut aider d’une remarque). À la fin de la séance, l’enfant dispose d’un ensemble qui peut alimenter la première trace écrite du cahier de science.
Le canevas général d’une trace écrite finale d’un travail d’investigation expérimentale peut comprendre :

1. Un titre (parfois en forme de question)
  2. La question de départ, ou le problème qui se pose d’abord
  3. Ce que l’élève ou le groupe pense, ou pense faire... avec parfois un croquis.
  4. Les expériences réalisées effectivement, avec un dessin (ou schéma) anoté
  5. Une légende, ou un commentaire au bas du dessin ou une petite phrase personnelle.
  6. Les mesures faites (ou les) résultat(s) obtenu(s)
  7. La conclusion qui en est tirée par l’élève ou son groupe et qui sera mise en commun dans la classe.
  8. La conclusion finale reconnue par toute le classe, qui tiendra lieu du savoir à retenir (approuvé par le maître et/ou vérifié dans les ouvrages.

Une nouvelle question peut alors naître pour la séquence suivante. Une nouvelle trace écrite, comme sa suite, viendra rejoindre la précédente. L’ensemble enrichit peu à peu le cahier de science dont la cohérence apparaît progressivement.

Remarque : certains maîtres choisissent de préparer la feuille de sciences de l’enfant ; ils utilisent une forme de tableau à remplir, ou reproduisent le canevas général. Au début du cycle 2 la question de l’écriture peut être contournée par des étiquettes, des dictées à l’adulte. Fournir un modèle peut être une aide quand l’enfant est jeune (GS ou CP) et qu’il est pour la première fois confronté à ce type de travail ; mais une telle pratique devrait peu à peu céder la place à une disposition composée collectivement, au terme de débats dans la classe. L’avantage en est une vraie prise en compte de la maîtrise de la langue par la dévolution aux enfants de leurs propres écrits.  



CANEVAS GÉNÉRAL ou MODELE D’ORGANISATION
DE LA TRACE ÉCRITE FINALE POUR
UNE DÉMARCHE D’INVESTIGATION AU CYCLE 2



 Le cahier de sciences rassemble toutes les traces écrites finales des activités. Il constitue le reflet du travail de recherche. il permet en cela à l’élève d’acquérir une formation d’esprit scientifique, visée essentielle de l’enseignement des sciences à l’école. Même au cycle 2, la rigueur de la pensée et du cheminement intellectuel doit être pris en compte.

La trace écrite finale a pour rôle de structurer en le restituant, le savoir construit par la classe. Pour cela elle doit refléter l’activité de recherche et d’investigation dans ses deux dimensions : d’une part celle des connaissances construites, d’autre part celle de la méthodologie employée. Elle doit donc outre les résultats construits, présenter les mêmes étapes de raisonnements que celles suivies dans l’activité. On peut considérer que la trace écrite finale se présente comme un rapport de recherche — même très simple — restitué peu à peu par la classe sous le pilotage de l’enseignant[1].

Avec le « Canevas général ou modèle d’organisation de la trace écrite finale d’une démarche d’investigation au cycle 2 » (voir dans les généralités du bibliothème), l’enseignant dispose d’un outil de pilotage pour la mise en œuvre de la trace écrite finale d’une situation d’investigation expérimentale (voir aussi le document « Démarches en sciences au cycle 2 »). Il constitue une sorte de grille de repérage logique pour l’enseignant et pour l’élève et non une fiche à distribuer telle quelle aux élèves. Il se lit du haut vers le bas, selon la chronologie du déroulement). Le « Canevas »[2] y articule les étapes de travail conformément à la démarche suivie.
Les étapes sont précisées et nommées d’où l’aide apportée : ces étapes constitueront l’ossature de la trace écrite finale de l’élève. Soulignons cependant que l’utilisation de ce canevas général ne signifie pas rigidité et contrainte : l’enseignant est libre de ses choix et peut modifier ou décliner la proposition générale pour tenir compte du contexte de la situation, d’autant qu’à la fin de chaque situation lui est proposée un « Exemple de trace écrite valable pour la situation n ». Par exemple, dans ce bibliothème sur la matière, les situations 4 et 8 ne relèvent pas directement d’une démarche investigation mais bien d’un travail d’enquête, de fabrication de maquettes : on peut organiser la trace écrite différemment.

Mise en œuvre pratique d’une trace écrite finale dans une démarche d’investigation  au cycle 2[3]

Lorsque l’enseignant lance la situation de départ, il inscrit au tableau la question/interrogation/paradoxe, etc… pour que les enfants aient sous leurs yeux l’objet de leur travail. Les groupes se lancent

1. Soit dans l’émission de leurs idées -> ils dessinent (GS, CP) ou écrivent (CE1) sur des affiches ou des feuilles A4 vierges (ceci est encore facultatif en GS ET CP).
2. Soit dans la collecte du matériel PUIS passent aux essais et aux manipulations -> ils dessinent leur montage, notent ou dictent leurs observations pour ensuite les présenter à la classe/ au groupe. Ils produisent des écrits intermédiaires.

L’enseignant passe parmi les groupes puis, une fois la plupart d’entre eux ayant terminé, il lance ensuite la confrontation des résultats : les groupes présentent leur travail et leurs résultats. Un débat collectif peut alors s’engager. Dans le cas 1, les groupes passent au 2 ; dans le cas 2, la confrontation s’organise pour une décision finale de la classe  et passer au 3 ci‑après).

3. Quand tous les groupes sont d’accord -> discussion menée par l’enseignant pour se mettre d’accord sur la conclusion finale (réponse plus ou moins partielle à la question de départ)[4].
3.1. si certains groupes invalident les résultas d’autres groupes -> discussion collective pour relancer la question et procéder à de nouvelles expérimentations.
3.2. Les enfants volontaires ou sollicités précisent et notent au tableau le nouveau projet, la classe repart sur une nouvelle investigation : reprendre à 2.

4. La classe a validé les résultats. L’enseignant organise un travail collectif de rédaction autour de la conclusion admise.

5. Élaboration du savoir général final (« ce qu’il faut retenir ») qui clôt toute la situation étudiée.

L’enseignant passe à la phase d’élaboration de la trace écrite finale. Les élèves sont chacun devant leur feuille à remplir à la fois individuellement, et à la fois collectivement : c’est la phase de rédaction de leur trace écrite sous le pilotage de l’enseignant :

7. Discussion sur le « titre » à donner à ces travaux – Ecriture au tableau du titre qui est retenu comme « Titre de la trace écrite finale ».
8. Chaque élève — réuni ou non avec son groupe — inscrit ce titre sur sa feuille. Puis il consigne la première interrogation ou question posée (facultatif en GS et CP : et ce que le groupe a pensé faire et obtenir). Il reporte sur sa propre feuille, le schéma de la manipulation que son groupe a proposé et qui est un écrit intermédiaire (soit le reprendre en photocopie, soit retracer, soit découper et coller l’écrit intermédiaire initial).
L’élève est invité à marquer quelques lignes de commentaires (personnalisation) ; puis il note les observations de son groupe (ou bien il reporte les observations ou mesures du groupe : là encore, on peut avoir recours à la photocopie de l’original en autant d’exemplaires que d’enfants du groupe, soit l’élève a noté sur son propre cahier d’expérience et l’on peut découper et coller ces écrits sur la trace écrite).
Enfin, chaque élève reporte les commentaires et les interprétations que son groupe a présentées dans la mise en commun des travaux. Il consigne la conclusion du groupe.
Puis mentionne si cette conclusion a été validée par la classe. Elle va devenir la conclusion générale (à inscrire).

9. À CE NIVEAU, l’enseignant apparaît comme le garant du savoir produit. Il peut inviter les enfants à se reporter à des manuels, à la BCD, aux vidéos, dictionnaires, encyclopédies, livres parascolaires, Internet, etc… pour vérifier que ce que la classe a trouvé est conforme au savoir scientifique reconnu. En cas de manque de temps ou de manque de ressources, l’enseignant apporte la caution scientifique et valide les conclusions de la classe.
Les élèves reportent dans leur trace écrite la conclusion adoptée par la classe.
Puis ils énoncent et consignent le savoir à retenir fourni par cette investigation.

10. L’enseignant peut inviter à l’élargissement de ce travail et inviter les élèves, en groupe ou individuellement, à des recherches, enquêtes, applications, fabrications, bibliographies, recherches historiques, etc… qui donneront du sens au travail d’investigation précédemment effectué. Les travaux, lectures, notices, questionnaire, dessins, photographies, etc… figureront à la suite de la trace écrite comme contexte signifiant.

L’enseignant peut choisir de faire procéder à la trace écrite en une seule, ou au contraire, en plusieurs fois : au cycle 2 procéder par étapes en fonction des manipulations est parfois plus facile et plus immédiat pour les élèves.


Dans tous les cas, la trace écrite finale permet la structuration intellectuelle de l’élève, tout en structurant ses connaissances. Maîtrise de la langue (écrite et orale) et déroulement de la pratique d’investigation scientifique se conjuguent dans une même complémentarité au service du sens que l’élève va donner ainsi à son travail.

Organisation possible de la trace écrite du « cahier de Sciences »
au cycle 2 

Le cahier de sciences rassemble toutes les traces écrites finales des activités. Chaque trace écrite s’inspire de l’outil « Canevas général ou Modèle d’organisation de la trace écrite finale utilisable en cycle 2 » (vu plus haut). Elle peut aussi s’appuyer sur « Exemple de trace écrite valable pour la situation « n » » dont le plan lui est fourni à titre indicatif ou d’aide pédagogique à la fin de chaque situation (voir ci‑après l’exemple).

EN AUCUN CAS l’élève ne doit remplir seul, le canevas ni l’exemple suggéré à chaque situation : ce ne sont que des outils de pilotage. La trace écrite est élaborée collectivement sous le pilotage de l’enseignant, quitte ce qu’une fois les cadres étant posés chaque groupe complète son travail indépendamment des autres.

La trace écrite reprend les étapes du travail selon des rubriques vécues : la question posée, l’expérience tentée, les suppositions, les investigations, observations, les conclusions tirées de ce travail (ce sont les réponses aux questions initiales), et enfin, le savoir à retenir de cette recherche. Le titre est négocié par toute la classe et l’enseignant. À chaque étape, l’élève, invité par l’enseignant, consigne les écrits intermédiaires de son groupe dans le cadre général prévu. Puis il contribue au débat de la classe, et inscrit dans le cadre collectif les travaux et conclusions validés. Le cahier de sciences est un « compromis dynamique » entre les résultats partiels des groupes et le consensus final du « collectif classe ». Il organise et administre le savoir construit.


Exemple de trace écrite finale valable pour la situation 1
 




TITRE : DES POUDRES À MÉLANGER…


1. Solide ou liquide, à quelle catégorie appartiennent les poudres ?

      Consigne : avec lesquels, solides ou liquides, puis placer les poudres ?

·      Mes idées : je place les poudres avec…… parce que………


·      Nos essais avec les 

             

1er essai
2ème  essai
3ème essai
4ème essai

dessin






Résultats







·      Nos essais avec les solides  (comme pour les liquides)
·      Résultats

 

·      Conclusions :






2. Toutes les poudres se dissolvent-elles dans l’eau ?

·      Mes idées : (texte du groupe ou de l’élève)


·      Nos expériences : 
·       

 poudre 1
poudre 2
poudre 3
poudre 4

Dessin  et observations










Résultats







·      Nos constats :


·      Définitions : (mélange homogène, hétérogène, soluble insoluble, etc…)

Nous avons appris que :















Prénom de l’élève :
Date :






[1] Ce qui exclut totalement le simple « résumé » dicté, ou, le remplissage de matrices ou feuilles de l’élève déjà toutes préparées à compléter par un mot ou une phrase. Car l’aspect méthodologique constitutif du travail de classe est exclu d’une telle conception, laquelle réduit l’activité scientifique à l’énoncé de ses résultats. La formation de l’esprit scientifique telle qu’étudiée par Bachelard, nous explique que l’enfant doit se heurter à ses incompréhensions et les résoudre pour apprendre, et non se contenter de mémoriser des réponses.
[2] Désormais, je désigne par « Canevas » le « Canevas général ou modèle d’organisation de la trace écrite finale d’une démarche d’investigation au cycle 2 » présenté dans les généralités du bibliothème cycle 2.
[3] Dans ce paragraphe, nous numérotons en continu les étapes de travail pour mieux faire ressortir leur continuité au sein de l’activité de classe
[4] À ce stade, nous mettons en retrait les 3.1 et 3.2 pour signifier que l’on reste bien à la phase 3 tant qu’il n’y a pas consensus dans la classe.

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